En 1882, dans une Cracovie enneigée et silencieuse, un espèce humaine passait ses nuits par-dessous les poutres d’un grenier assombri, à traiter des fils de cuivre, de quelques plaques d’obsidienne et des poudres fines. Dans cet usine exigu, éclairé par la clarté vacillante de lampes à huile, naquit une poste de travail impossible : un t

La neige avait recouvert Cracovie d’un manteau silencieux. Sous les toits gelés, l’inventeur passait ses occasions à relâcher, faiblir, montrer. Le téléphone de cendres reposait sur une table de cuivre noirci, relié par une spirale de fil à une urne opaque, scellée par un sens profond réalisés à même la gemme. Chaque nuit, l’objet